Samedi 27 Janvier 2007

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Vallon de l'Emy

      Dénivelé : 800m      Skieur Moyen


Henri Vinti


Départ peu avant 7 h 30 du campus, direction Albanne (73). Peu avoir quitté la RN6 pour monter direction Les Karellis, la route est enneigée et les pneus contacts s'avèrent indispensables. Il est prêt de 10 h 30 lorsque tout le groupe est près à partir, direction la forêt où la montée est très agréable, sur une bonne neige, heureusement déjà tracée. Nous passons au pied du magnifique hameau de La Plagne et les photographes regrettent d'avoir oublié meurs appareils ? Lorsque nous quittons la forêt, nous retrouvons les remontées mécaniques, que nous ignorons. L'espace est suffisamment grand pour ne pas les voir. Nous montons alors dans les pentes ?exposées à la bise - et, à partir de ce moment, il faut faire la trace : les plus courageux se relaieront pratiquement jusqu'au bout. Dans l'ensemble, l'épaisseur est conséquente, seuls en quelques rares endroits la neige est soufflée. Le groupe monte tranquillement et vers 12 h 15 nous atteignons le sommet du télésiège. Deux options s'offrent au groupe : montée à Chaudannes ou continuer en direction de la Pointe d'Emy. La belle chevelure blanche qui coiffe la Tête des Chaudannes incite rapidement le groupe à renoncer au sommet. Nous continuons alors en direction de la Ponte d'Emy, après avoir descendu quelques dizaines de mètres pour rejoindre le fond de la combe. Gérard nous abondonne peu après, mais nous continuons dans la bonne humeur jusqu'à une croupe. Il est 12 h 45 et les instruments indiquent que nous avons monté un peu plus de 800m. Tout le monde étant satisfait de sa montée (sauf les Vampé et Jean-Marie qui monteront jusqu'à un col 100 m au-dessus), nous décidons de dépauter et de rejoindre Gérard un peu plus bas pour pique-niquer au soleil et, dans l'ensemble, bien protégé du vent. Arès avoir apprécié le Guignolet et le Génépi du St Bernard du groupe, nous décidons de descendre. L'épaisseur de neige nous laisse prévoir une belle descente. La confirmation arrive rapidement. Le vallon n'a pas encore été trop emprunté et chacun peut faire sa trace dans une neige poudreuse, croûtée en quelques rares endroits seulement. A 14 h 45, tout le monde arrive aux voitures, satisfait de sa journée. Retour au campus vers 17 heures, après quelques inquiétudes quant au sort des deux voitures suiveuses : elles ont pris un autre chemin que le leader et ce dernier, inquiet, les aura attendu ¼ d'heure avant de décider de continuer. Tout le monde se retrouve sur le campus vers 17 heures et avant de nous quitter, nous pensons déjà à la balade de la semaine suivante. P.S. : Une majorité de retraité dans le groupe : où sont les jeunes ?

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