Samedi 24 Janvier 1998

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Portes de Montmélian

André Plisson


RdV 7h30 parking de Physique, départ 7h40 pour Le Cheylas (récupération de votre serviteur, entre autres), Albertville, Celliers (1300 m).

Notre journée démarre mal, puisque Geneviève, pour qui le trou du local Caesug a été fatal doit renoncer à la course pour cause d'entorse a la cheville. Nous lui souhaitons tous un prompt rétablissement.

Nous attaquons vers 10H10 et rejoignons rapidement la route de l'Arpetaz ou le soleil nous attend et nous oblige a 'débâcher'. Au bout d'une demi-heure, un certain nombre d'entre nous serons en T-shirt et ce jusqu'au sommet.
La montée s'effectue sans problèmes (et sans danger notoire) dans de larges combes ou un groupe plus matinal nous a fait la trace. Après passage au lac du Branlay, nous continuons jusqu'aux portes de Montmelian (2459 m) plus ou moins laborieusement. Les premiers sont au sommet vers 13h30 et les derniers (que je remercie pour leurs encouragements) vers 14h00.
Le panorama, que nous détaillons, est somptueux tout comme la mer de nuages sur la vallée.
Après la séance photos rituelle et quelques réglages de ski, nous entamons la descente dans une poudreuse excellente jusqu'a l'espace salle a manger ou nous avons abandonné Jean François (le rhumatologue de secours du groupe) dont c'était la première randonnée.

Le casse-croute fut apprécié et arrosé et après le génépi d'Henri et les chocolats a la liqueur de Sabine, alors que le soleil disparaissait derrière le Rognolet, nous continuâmes la descente en poudreuse en profitant des conseils avisés et autorisés de Carla, ce qui n'empêcha pas quelques belles culbutes en particulier dans les quelques passages croûtés. Les derniers 50 mètres s'effectuèrent dans la purée de pois et si certains (j'ai les noms) choisirent la sécurité en prenant la route, les autres plongèrent tout droit vers les voitures et l'un en profita même pour plonger dans le ruisseau.

Nous étions à la voiture vers 16h30.
Le bar ne nous laissera pas, une fois de plus, un souvenir marquant si ce n'est qu'il faudra dorénavant l'éviter a tout prix. Le vin chaud est sans doute ce que l'on peut faire de plus exécrable avec du vin et du sucre et bien sur sans cannelle (qui ne doit sans doute pas se conserver à de telles altitudes).

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