Dimanche 13 Janvier 2002

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Le Mont Rosset

      Dénivelé : 1000m      Bon Skieur


Claude Morand et Frédéric Noël


METEO : Soleil malgré quelques nappes nuageuses à l'horizon. Température de printemps au heures "chaudes". Peu ou pas de vent.

NEIGE : De la neige dès les voitures au dessous du pont de la Gitte, mais relativement peu de neige pour la saison. Les touffes d'herbes apparaissent par ci par là. Le manteau peu épais ne semble pas fragile du moins pour les pentes abordées. En descente la neige est croûtée mais pas insupportable (on y fait quelques virages), il faut rechercher les endroits abrités voir en face nord pour trouver des passages agréables.

COURSE : Départ comme prévu à 1416m légèrement au dessous du pont de la Gitte. Nous suivons la route enneigée, jusqu'au dit pont et coupons vers le nord-est au travers de chalets éparpillés aux abords de la forêt. Là nous cherchons à suivre la carte en contournant la forêt mais il faut bien reconnaître que la forêt s'est étendue et finissons par couper au travers pour regagner un peu plus loin la piste qu'on aurait pu suivre. On aura fait quelques conversions ! Nous gagnons les chalets du Mont Rosset et abandonnons la forêt. Il ne reste plus qu'à suivre une grosse croupe enneigée jusqu'au sommet qui s'aperçoit enfin après quelques mamelons gigognes. Bonne pause au sommet (2446m).

Pas de difficulté, hors mis la neige un peu croutée, dans la première partie de la descente. La pente est très régulière et tout autant agréable. Puis les choses se compliquent à l'entrée du bois. Certains cherchent la poudreuse au milieu des racines, alors que d'autres pensent être sages à suivre les chemins. Tous les chemins ne menant pas nécessairement à la voiture les seconds rebrousseront chemins pour retrouver les traces des premiers.

On notera tout de même sur le retour ceux qui, conscients de leurs responsabilités, pensent à abreuver leur voiture, mais manquent de partir sans payer : pourtant les voitures avaient été sagement servies avant leur propriétaire.

CONCLUSION : Il faut bien attendre les cents derniers mètres avant de déclarer qu'on a vu la Pierra Menta et que c'est magnifique.

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