Dimanche 13 Mai 2007

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Les Tufs (sud col de la Croix de Fer)

      Dénivelé : 500+300m      Débutants


Claude Morand


Météo : beau et venté Neige : transformée

A 6h les copains du rendez-vous du campus nous rejoignent Muriel, Dany et moi qui avons passé la nuit au col de la Croix de Fer 2064m envahi de voitures. Michèle Vampé préfère se joindre à nous plutôt que de courir sus à l'Etendard avec mari et fille. On porte 10mn sur la partie horizontale du chemin EDF puis monte à skis dans l'étroit et discret vallon qui longe les rochers des Perrons. Pas un chat (bien sur!) et pas un skieur car ce n'est pas l'autoroute qui mène à l'Etendard. On est rattrapés en chemin par Patrick qui a loupé le rendez-vous du campus (5h c'est 5h, n?est-ce pas Michel!, et même 5h -5 hum ) Arrivés vers 9h aux Tufs 2590m ventés à souhait, bref coup d'?il sur les lacs entourés des Laisse, Cochettes, Etendard et Sauvage. On enlève les peaux pour descendre plein est dans un vallon saccagé depuis peu par un télésiège, juste pour voir déboucher 2 copains Roland et Jacqueline Veysseyre. Descente en très bonne neige transformée, encore assez ferme, mais ravinée par les récentes pluies, jusqu'à 2200m environ. Casse croûte léger, mais bien agrémenté du cake de Christine, et sans trop de vent, sur d'accueillants rochers. Remontée à peaux jusqu'aux Tufs (pour les vaillants) ou jusqu'au col à 2500m, bien venté lui aussi. Dernier coup d'oeil vers l'est qui blanchit de nuages. Et joyeuse descente sur bonne neige transformée dans notre vallon, qui bien que discret et réservé ce dimanche aux skieurs du caesug, est pollué par 2 ou 3 raquettistes. Pique nique au soleil, avec un peu moins de vent avant terminer la descente jusqu'aux col atteint vers 11h. Au parking on rencontre entre les bagnoles des ex caesug (Anne et Marc Joyeux, Danièl Mestrallet) tous attirés comme nous tous par cette dernière neige (jusqu'à la prochaine en novembre? décembre? janvier? ou février comme cett année?) Quelques cafés et apéros terminent cette dernière rando en bonne neige, mais ventée car, comme ne le disait pas Samivel, rien n'est parfait en ce haut monde.

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